1. |
Tony
01:05
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1-TONY :
Tony ! Encore un Classique ! Mes vers n’sont pas en plastique
« Basse de Base » tu connais ma technique
J’ai le Bic en feu, en phase avec mes phrases
Cette fois-ci la tuerie j’peux ! 2010 « j’rechecke le Mic »
Comique et seul rappeur d’ma clique…p’t’être le seul à avoir de l’Esprit ?
Oh ! Ma violence reste ironique
Prise de parole et le risque d’un rôle !
Oui ça m’désole ceux qui oscillent des épaules
DIUB ose, pose une prose qui cause le doute
Envers ce « voyou » et ça névrose du « ghetto youth »
Oui ! C’est ça que j’aime!
Postillonner comme EKOUE en 1.9.9.7
Tise à ma santé j’rapperais à la tienne
Qu’est ce qui ce passe ? Bah l’K.H place du neuf Men !
Égo style, Freestyle aih !
K.O style, on ne m’a pas avec la maille
Militant non militaire je n’peux pas me taire
Méditant sur vos guerres…Non je n’peux pas m’y faire
Passe au titre suivant, GRAND ! J’aurais la rime percutante !
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2. |
Wack MC's
06:44
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2-WACK MCs :
Tes punchlines ne sont qu’la nouvelle tendance
Elles touchent des oreilles mais gardent leurs poings tendres en fait
On sait tous qu’elles ne font tomber aucunes dents
Poussent juste les bouffons à s’prendre pour des sters-gang !
Perdant l’occas’ de s’taire, langues sales, austères
Sans bases, repères, genre…
Hooligans rétrogrades sectaires encensant le sensationnel
Par un langage précaire en tension ! Comme conséquences ?
La haine s’dépense, n’pense qu’avec violence !
Brûle car sans le sens de la parole et d’son essence !
Penses-tu vraiment qu’une évolution s’enclenche avec des branques ? Shut !
J’te l’annonce tout d’suite c’est non !
Peinant comme c’est lent pour qu’les gens s’élancent
Dans la comm’, l’échange et qu’dans les différents raisonnements
Ressorte un peu d’conscience, notre propre intelligence !
Ah ! Piges-tu donc notre force de ma pertinence ?
Impertinent, comme un père j’dis « Non »
A la persistance de la pestilence quand ces perfides mentent
Dans le mouvement ? Beaucoup trop de rageux !
Réveilles toi, ouvres les yeux
Enlève cette colle d’envieux qui t’rends aveugle en eux
Les médias les rendent valeureux
Et c’est le mot « talent » qui qualifie ces merdeux !
Une tendance chez ces journalistes sans pécules
Qui à force de lécher des culs
Finissent par devenir des rouleaux d’P.Q !
Ca spécule, pour une bonne place ça s’paie dur !
Pour eux peu de rappeurs valent la première ligne
Le ‘blem c’est qu’ils sont tous dans leurs rubriques
C’est quoi ce délire !
Tu parles de connaisseurs, plutôt des cons naisseurs d’E.P sans valeurs
Vas leur dire que j’me fous de leurs rappeurs qui d’leur passé ont peur
Arrêtes tes mitos, t’es piteux, miteux à t’prendre pour un Ny-to Montana
Monte des crans au lieu d’te croire à l’écran en train d’serrer c’que j’n’appelle même pas des nanas !
Refrain :
De tes discours ne sortent que des ouïes sourdes au contact d’autrui
Tes vocales cordes se "dissolvent"
Quand comme un dogme tu dis que courte est la vie
Sans cesse un esprit de fou toi t’habite,
Tu ne vois même pas plus loin que le bout de ta « bitch »
Comme quand à tord tu dessoudes la fougue juvénile
De la culture du doute sur tout c’qui nous entoure,
Vraiment, moi, j’trouve ça tragique ! WACK MCs !
Ici et là, on parle du droit de chacun à être soi-même
Seulement partout c’est qu’on n’pense qu’à soi-même
« L’Unité » devient un noumène enfoui en nous-mêmes
L’enfant roi envahi tout endroit, dominer l’autre pour tous c’est un droit !
Le droit de qui ? Le droit de quoi ? Sais-tu au moins de quoi tu parles ?
Tu veux le droit d’être un délinquant ?
Tu veux qu’on t’accorde le droit d’être un cancre ?
Et pourquoi ne pas t’autoriser à tuer ceux qui te dérangent ?
J’ai l’impression qu’chez toi la bouffonnerie se range !
Allez arrache ton style en carton !
Redescends tes chaussettes à tes talons !
Talent décoratif qui a le bras long, j’trouve ça lourd
Est-ce que ta jambe s’apparente encore à ce putain de poids lourd ?
En réalité, assez de cette dette-ve qui sans besoin de dettes veut grimper en jouant les nerveux
Qui en veut ! Qui à les nerfs et veut monter puis tombe et s’en veut !
Ca fait les 100 vœux, ça rêve pour finir morveux
La mort veut qu’à force d’insister, t’en deviens assisté
Incité à prendre les autres pour tes servants
T’en servant pour bonifier ton existence !
Telle sera la récompense de ta persistance
Sans t’mentir, ce n’est pas l’envie qui m’manque
De te foutre une dale-men !
Fais pas les Nino niño sinon
C’est parmi les Minos du caniveau qu’tu finiras ton bas niveau
Balise !
Au plus bas s’hissent nos plus belles balles isolées que sont nos mots
Dans ce verbal bal qu’tissent nos flows !
C’qui agitera les dalles si nos
Cohérents encéphales étalent notre philosophie féroce du marteau
Pour qu’les filles et fils s’efforcent d’avoir vice s et forces
Et qu’leurs esprits et corps soient Martiaux !
Refrain :
De tes discours ne sortent que des ouïes sourdes au contact d’autrui
Tes vocales cordes se dissolvent
Quand comme un dogme tu dis que courte est la vie
Sans cesse un esprit de fou toi t’habite,
Tu ne vois même pas plus loin que le bout de ta « bite »
Comme quand à tord tu malmènes la fougue enfantine
Qui dans la culture du doute tente de s’construire !
Vraiment, moi, j’trouve ça tragique ! WACK MCs !
Trompeurs, style « hacké » !
Pondeurs d’rimes claquées, ont peur d’être tombeurs d’régimes arqués
Contre leurs hymnes traquées
Car des conteurs libres
Sont conteneurs de fibres ennemies à leur social pacte
Et qu’on sait songeurs et sondeurs de ceux qui de leurs normes
De trop s’écartent et
Là les tyrans t’attaquent et cela sans tact et
Tu peux être sûre que ton avis de décès rect-di est acté !
Alors hun ! Qui ose parler VRAI ?
Que les grandes gueules se manifestent !
Qui à des textes prêts au crash-test ?
Quitte à n’plus faire l’pique assiette
« Kick ta merde » et l’Asasem (comme Assassin) et l’pire encaisse !
Ce n’est pas un rap banalisé
Qui s’pose comme un cliché, j’te l’ai maintes fois répété
Quand j’parle à l’assemblée ma langue n’a pas besoin de tricher
Résistants comme la Trichite, mes dires sont riches et chinés
Chiffrés sont ces rappeurs blindés de sous,
Mais quand il s’agit de valeurs ne valent pas un clou !
Têtes vers le bas, j’dirais même qu’ils plient le cou !
Couz !
J’te parle de gens d’en dessous, eux t’parlent de gent sans dessous
Non c’n’est pas qu’les femmes ! Pire !
C’est leur fantasme sans illes-cou !
Quant il s’agit d’agir, détrompe-toi ! Ils ont la ille-trou
C’est fou que t’écoutes tant de balles-trou et ce qui me soule
C’est que ne reste qu’une conscience politique sans atouts
D’où que dans le rap moi j’fais pas mon Pétain
Je ne signe pas la paix pour être dominé comme un traître, une putain !
Quant au Hip Hop, au vu d’son histoire, j’suis pas pour l’espoir, Agir c’est mieux que de croire !
Refrain :
De tes discours ne sortent que des ouïes sourdes au contacte d’autrui
Tes vocales cordes se dissolvent
Quand comme un dogme tu dis que courte est la vie
Sans cesse un esprit de fou toi t’habite,
Tu ne vois même pas plus loin que le bout de ta « bitch »
Comme quand à tord tu dessoudes la fougue juvénile
De la culture du doute sur tout c’qui nous entoure
Vraiment, j’trouve ça tragique ! WACK MCs !
De tes discours ne sortent que des ouïes sourdes
Tes vocales cordes sont dissoutes
Comme quant à tord tu dis que courte la vie est
Mais toi jamais le doute ne t’habite !
Tu ne vois même pas plus loin que le bout de ta bite
Comme quant à tord tu malmènes la fougue enfantine
Qui dans la culture du doute
Tente de s’construire, vraiment, moi, j’trouve ça tragique ! WACK MCs !
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3. |
Mon intime
03:13
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3-Mon intime
Salut mon intime ! J’te vois déjà sourire, ou rire, te dire que t’as réussi
Ta lutte contre ma timidité, pour m’soutirer des rimes,
J’dirais même un hymne
Sur l’intimité de cette solide « team »
Qui nous définie et est signe d’humilité
J’dirais même l’insigne d’une utilité publique et privée
Car avec toi on trouve l’envie de croire et d’militer
en, et pour un amour indestructible et vrai
Empêcher toutes traces de toi en moi serait
Tenter d’effacer vainement des lettres qu’on imprime
Sous encre indélébile
Tant t’es le sang de mon idylle !
Sensé primer l’sens de mon existence, j’sens qu’t’es
Cette encre indestructible !
Une trace d’éveil dans cet être que je construis
J’suis ce cœur ouvert que je reconstruis,
De moi-même à autrui, toi t’es c’bon fruit
Qui fait qu’on s’tait et qu’au fond on se dit
Qu’avec une humaine de ton style/
P’t’être que dans l’avenir de joie on siffle !
J’t’aime jusque dans mes veines !
Depuis je conquis l’art coaguler tes peines afin qu’tu restes mon guide !
REFRAIN :
Mon intime, dans les liens affectifs,
toi t’es c’qui m’ranime, m’anime, m’intime
D’être plus magnanime et attentif aux pins d’épines des pines
qui ne m’souhaitent que l’abîme
Mon intime, dans les liens affectifs,
t’es c’qui m’ranime, m’anime, m’intime
D’être plus magnanime, attentif aux pains d’épines fines
des pines qui font mine
De m’vouloir du bien alors qu’elles ne m’souhaitent que l’abîme
Mon intime, dans les liens affectifs,
toi t’es c’qui m’ranime, m’anime, m’intime
D’être plus magnanime, et attentif aux pains d’épines
Des pines qui ne m’souhaitent que l’abîme… Mon intime…
Ton regard ? Ma tunique, tes émois sont uniques
En ta présence la tristesse devient vraiment pudique,
c’qui fait qu’souvent cette vie croustille !
T’inquiètes j’sais qu’t’aimes les paraboles qui t’émoustillent
Il est fou et mou l’type qui croit qu’j’ai pas d’bol
d’être avec une emmerdeuse comme toi de haut vol
On s’est voulu pour nous tout seul car on est des gens entiers
Anticonformistes notre socle d’affection un chantier
En construction continue pour mieux prendre le temps d’enfanter
Enchanté de marcher sur les mines de ton champ et
D’y sentir tes explosions d’rire
Et d’bon sens !
Enfin t’es : Ma biscotte, ma tartine, quand tu m’bécotes et m’câlines
Mon cœur m’picote et m’intime que t’es ma cotte, ma praline !
Ce sucre rapide
Qui fait de l’existence un sport plaisant, pas pesant,
Dans lequel j’évolue avec aisance !
Pardi présent auprès de toi car bon sang !
En plus d’être marrante mais qu’est ce que la vie à deux est puissante !
REFRAIN :
Mon intime, dans les liens affectifs,
Toi t’es c’qui m’ranime, m’anime et m’intime
D’être plus magnanime et attentif aux pins d’épines
Des pines qui ne m’souhaitent que l’abîme
Mon intime, dans les liens affectifs,
T’es c’qui m’ranime, m’anime et m’intime
D’être plus magnanime…Mon intime...à ma Raclisse…
Peace, love, unity and havin’ fun Miss!
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4. |
Regards et voix
03:03
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t4- Regards et voix:
Chacun a son propre regard mais sans s’en rendre compte
On suit souvent celui des autres à notre égard et
Devant ce sentiment complexe
Beaucoup sont perplexes ou se sentent égarés,
ne sachant quoi dire quoi faire
A part adopter l’avis d’ses confrères,
de là on croit à la vision commune des sonne-per
Mais il est urgent de mettre au clair que nul n’est père de la pensée
Un jugement commun doit laisser la place à l’appréciation perso’
Sinon c’est ce qu’on appelle être aliéné !
Faut que ce message se passe de bouche à oreilles
Pour que les « bas » s’haussent et que les bras saucent
De gestes d’honneur l’espace politique
Et que la peur de s’exprimer se tasse au plus profond de ton égo
Bats-toi si tu veux que tes droits à la parole
Et à la pensée avec eux, enfin, soient égaux !
Refrain :
A tous ces gens avec qui je parle, avec qui je râle, avec qui je cadre
Un espace humain pour que s’élèvent des voix !
A tous ces jeunes avec qui je râle, avec qui je parle, avec qui je cadre
Un espace humain pour que s’élèvent des voix !
C’est quand même un comble ! Ici on est si criblé d’idées
Qu’on reste en manque de vie pour les matérialiser
Donc je m’atterre !
Puis guide les petits à ce que leurs hantises soient dématérialisées
10 et puis plus d’une pige que j’te dis d’être « Hors piste » !
Inhume la bêtise, l’hypocrisie ?
Loi vitale si la tune tu veux vieux,
Mais mieux vaut de la retenue qu’être riche posthume !
Le costume ? La cotte connue d’une réflexion dure comme le bitume
Consume la vie comme une tumeur, humeur de ronces,
Crucifieur de cons !
Hume l’odeur des trous d’ul-c qui squattent ton vécu !
Là t’es déçu de voir qu’ces déchus
Souvent de ton entourage à toi sont issus…
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5. |
Des larmes (Feat: P4)
05:03
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5- Des larmes :
J’aime pas leur mentir, j’leur dis « pour moi ça va c’est cool ! »
J’comble le silence, souvent, car j’veux pas qu’on s’écoute !
J’sais pas ce que je répare, si quelque chose est mort
Et dès que je leur parle, tout de suite ça devient énorme
Imager mes pairs, c’est un peu ça l’idée,
Imaginer mes peines, ne pas les qualifier
Me réduire à ce que j’ai fais de bien ou de mal
Ne pas rester de marbre quand ils me prennent pour un animal
Mes amitiés niées ne peuvent mériter mieux
J’viens d’un milieu où les avis n’sont pas mielleux
J’vous dirais stop ! Ca me gênerait, j’arrêterais tout
Entre nous c’est tout et pour un rien ça part en couille !
Car j’en ai rien à foutre, car j’en ai rien à péter !
Car c’est devant Dieu que je vais plaider
Pour ce que j’ai accepté pour ce que j’ai cédé,
Pour toutes les fois où je n’ai pas décidé
Ma vie c’est des fêtes et des larmes, des pètes et des drames
Et les moments de joies n’en perdent pas leurs charmes !
Le monde nous fait payer ses banalités,
Ma couleur de peau est canalisée !
Est-ce que la France est ciste-ra ? Perso’ je m’en bats les cocos
J’fais mes ffaires-a légales avec mes potos
Je n’ai pas découvert comme ils nous considèrent en 2013
Donc ce n’est pas mon front que l’on écrase !
La crise je la connais : « un père smicard »
Maman m’a dit : « Joue pas au gros bonnet, reste perspicace »
Des larmes coulent sans cesse, j’pleure mes pairs
La rue, ses putains d’faits divers et toutes ces pertes
J’pleure Madiba, Sankara, Martin, Malcom !
Après l’Tout puissant j’crois qu’en ma pomme !
Je n’attends rien des Hommes et de c’qu’ils m’accordent
Fais ce que t’as à faire, pour moi y-a foye !
Des larmes coulent sans cesse pour mes marginaux
Les barricades de la té-c(i) sont des lignes Maginaux !
Nos excès sont machinaux,
On a des rêves à la hauteur de nos idéaux maximaux!
Des larmes coulent sans cesse, traduisant la frustration des pères
Qui en conséquence de leurs absences
Se retrouvent en guerre au domicile
Où tout sauf eux domine, tous fous sous l’feu, l’dos miné
Par des problèmes d’ados minés par la mort qui en d’viennent
Mi bêtes mi hommes, omnipotents forts d’omniprésence
Les dominos perdent l’équilibre quand l’autorité n’est plus présente
Et sans « bonne proximité » y-a trop de distance,
Du coup les paters’ ne sont plus plébiscités
Beaucoup sont perdus dans la plèbe, la Cité ! Plus de paix ni d’félicité
Au sein d’leurs familles souvent ils sont K.O Technicisés !
Leur grandeur est rapetissée,
J’dirais même que leur posture est excisée !
T’ai-je précisé, que certains n’ont que trop mérité c’t’obscure destin
Car à trop expirer d’agressivité, ils ont hérité
De gamins excipés d’expier leurs erreurs
Trop occuper à la société, avec excès, les exhiber ! Surexcités
Au fond ils ne se que trop insécurisés ! Dois-je… expliciter ?
Ok, j’dirais que par incapacités à être contenant sans brutalité
A leur descendance, c’est sans patience qu’ils ont réclamé « Docilité »
A respect et conscience bousillées hun !
Ne naissent que des gosses « sciés » !
N’oublies jamais que l’obéissance reste un consentement négocié !
Ici l’instinct grégaire n’aide pas la prière
où les plaintes ne s’acheminent qu’en enfer
Ou en terre sainte, d’façon pas d’saint Père ou d’pères saints !
Dans un dessein où s’perce un trou dans la mission d’mes pairs
Sincèrement eux-mêmes en manquent de repères simples !
Autorité en transe, identité de trans’,
pères voués au cimetière des sens
Sensé protéger leur progéniture quand il en est temps, sssh !
Essence sont ces voies assises sur l’banc de l’abstinence
Sans sons ne sont pas signe d’assistance ! Ni belles ni à entendre
Dès que s’affirment leurs décibels, elles, terminent en cendres
Au fond, la peur ne fait qu’engrainer l’erreur,
Le ton qui monte n’est pas éducateur !
Tout daron doit savoir qu’la violence éduque à tords
Surtout s’il pense que le respect n’est dû qu’aux forts
La jeunesse passe à l’acte si elle perd la parole
Car dans le stress, pour eux agir c’est de la comm’ (-unication) !
Trop dans l’alcool, sont devenus nageurs pro en crawl
Cros dans l’col du voisin car la déprime réclame du sang !
Dans l’manque on fait couler l’notre pour se sentir vivant, important
Et comme on le sait, en sortant de taule
chacun peut avoir l’crime à bout portant
Une boule au ventre, la balle au centre !
C’est ça… quand on manque d’amour et d’paroles bien portantes !
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6. |
Devant le drame
02:01
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6- Devant le drame:
Devant le drame je reste plein de mots,
tenant mon crâne enclin de maux cérébrales
Là j’serre les bras pour qu’la mort vous touche tel un Cobra
Cambré sur mon bureau de chambré, c’est sans gré
que j’immortalise les sans regrets ! Gros lard !
Je sens l’implosion d’mes vicaires
quand se resserre en vous ce besoin d’être vicelard
De là j’visse l’art de foutre la rage à ceux qui nous bobardent, j’bombarde dès qu’mon hymne barde
Fini ces détours où mon regard s’étouffe,
J’garde mon souffle pour ces quotidiens qui s’engouffrent
Autour de mes contours
Des gars crachent comme ils bouffent leurs alentours
Un jeune fait vite tâche quand la bêtise l’entoure ! T’en fous ?
C’est que tu n’es pas de ceux qui finissent en tour
une vie qui paraît naître avec un numéro d’écrou
Certains s’en sortent mais prennent combien de détours ?
Bref, j’ai l’nerf de fer pour ceux que la culture française à mise aux fers
Offerte la vie est mais la mort, elle, à bien plus d’anniversaires !
Mes vers serrent de près mes adversaires
Ces faussaires qui jarrettent les envies dans une fausse aire
Je hais les rêves que l’on ne touche que dans le sommeil !
Mon pote la vie ce n’est pas la pub de ton poste
Mais une route hard core qui te choppe et te choque au corps
Le quotidien n’est pas cette utopie de l’audimat
qui te ment et fait du style que tout est jolie
Pour clore, sois en accord avec toi-même, ça c’est de l’or !
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7. |
Cohésion névrotique
04:12
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7- Cohésion névrotique :
C’que j’ai à dire ressort sans structure comme le reflet de ma réalité sous fracture sociale
Et mon calme depuis se sature, ça tue pour prouver ou renier une existence
Le dialogue humain n’est bien qu’une « sentence » ! Ma sensibilité explose et meurt
Mes yeux ont vu l’horreur de l’honneur ! Je sens qu’ma haine se mondialise
Et cela depuis des morts sans pleurs qui tombent sous mon regard au journal de 20h !
On veut d’la vérité on nous offre la criminalité !
« Réalité mensongère » est le métier de notre air
Guillotinée est ma citoyenneté sans air
Mon air d’action est si petite que je me sens prisonnier
Pris au nez d’une inconscience longtemps cautionnée
Sache qu’à morale de travers, tout corps sera redressé ! »
Des siècles, des années d’évolution carcérale
Et ça pour primer la cohésion sociale !
Mon monde est la prison d’un « sauvageon »
L’Homme et son putain de grand H sans raison
Une majuscule pour désigner c’t’espèce
Rien ne vaut la grandeur pour un gâcheur d’oxygène !
Le plus grand tueur, prédateur sans valeurs !
La non-raison est le poison de cet animal sans cœur
On assassine nos fils et nos filles sans peurs
N’ont jamais peur ce qui n’ont pas d’conscience
Pas de confiance, les cons se fiancent ! Ça une alliance ?
Tu parles…Hypocrisie dansante !
Le futur ? Une question de résilience
Refrain :
Aucune politique ne retranscrit ce que je suis
A croire que personne n’imprime c’que j’dis
Ici on ne t’écoute que par politesse
Ou tout simplement pour ne pas que tu progresses !
Aucune politique ne retranscrit ce que je suis
A croire que personne n’imprime c’que j’dis
Ici on ne t’écoute que par politesse
Ou tout simplement pour ne pas que tu protestes !
A croire qu’l’opinion populaire pollue l’air
De ceux qui régissent le pouvoir de ma société moderne !
J’fonce dans mon histoire car mon présent plonge dans le purgatoire
D’une justice épongée de criminels notoires !
C’est l’arrogance massive qui domine
Donc y en a certains qui dans le dos minent !
L’homme est l’animal dominant
Dominé lui-même par ses poches, tuant même ses proches
Pour un bout de roche!
Espérais-tu pour ton avenir domicilier sur une belle planète ?
A mon avis la seule image réelle ne sera plus que sur le net
On qué-ni l’écorce terrestre de déchets nucléaires et t’en restes
L’âme malsaine
Sentant cette merde sous les pieds de tes enfants
Sur la tête de tes ancêtres !
Y a un manque d’anti sorts ! Qui s’pointe pour nous en tir-sor ?
C’est au fil des jours que tu piges que du confort on t’a éventé
Et que la belle vie, ici, n’est bien qu’un rêve inventé !
J’poursuis mon min-che, c’est l’lendemain qu’on lynche
Mes mains chutent dans la brousse urbaine
Où la dérive devient un tronc commun
Comme un savoir dans les mains d’un homme impuissant
Face à la puissance de l’inconscience !
J’ai appris que plus l’adulte discrédite sa présence (et)
Plus la jeunesse dans la déviance se dépense !
Conséquences ? Délinquances et violences !
Le Nihilisme s’épanche de l’enfance à la sénescence !
C’est né sans chercher à gouverner dans l’unité
C’est blessant que sans nous vous tentiez de subsister !
En société la solitude ne permet pas d’exister,
Pis c’est à s’crisper de vous voir insister !
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8. |
Larme Incivile
04:07
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8- Larme Incivile:
Avec l’Establishment ? Garre-ba d’mots c’est salé !
Gars pas d’pot j’ai capté c’tard-ba d’procès qu’à fait
L’Etat à ces gens décalés
Ah ! C’est quand t’es paré
à sans gants les taper à sang qu’t’écrasent ces petites merdes
Peuvent-ils même être au fait de c’qui n’jamais les gêne ?
Pour que pour nous les changements s’enchainent !
Chaîne de mœurs aux pieds,
C’est par des êtres de cœurs semés de « seum »
Qu’est parsemé ce peuple au droit de vote désarçonné
Le savoir j’l’ai donc arçonné afin qu’mes droits j’puisse harponner !
Les transmets à mes fillettes et garçonnets,
Qui un jour s’ront c’t’assaut né
Pour venir puissamment, de face, toi, t’assommer !
Glas d’sonnets ! On me dit mais qui t’as sonné ?
J’réponds : « J’me suis façonné, appelles moi l’X Malcomé ! »
Mal comme les esprits détruits car comme les rétifs épris
D’l’art d’semer critiques et risques
On veut m’cartonner !
Refrain :
Larme incivile d’un r’gard creusé à l’iris impressif !
Gare c’t’impro c’est
L’arme bien missive d’un art preux, c’est ta rétine qu’j’invective !
Garde imposée !
(Ici) On tue mes idoles sans heurts, annule ces rebelles acteurs
D’points d’vues plus vrais, encenseurs d’révoltes en feu aux senteurs
D’vives ardeurs d’vivre ailleurs, quitte, à c’t’heure, à finir « Tirailleurs »
Qu’l’avenir arrête d’être l’éthique du brailleur !
Ici les jeunes de Tian’Anmen restent une valeur !
Face à l’armée, ils suscitent à jamais c’corps de l’honneur !
Corne du bonheur !
Car furent c’t’uppercut qui s’répercute encore
Actant c’que Yaobang pensait de meilleur !
Bang ! Voilà c’que j’ressens quand j’pense à Sankara !
Un arrière goût de Mitterrand sur la langue !
‘Tend que j’plante un arbre pour l’occas’ !
C’est pas tous les jours que j’ouïe le nom d’un militant !
Temps, persistance, durcissent l’élan d’une vallée contre l’empire
Tant que j’y pense, emplit tes sens du Lyon de Pandjchir !
Entends l’chant de la désobéissance civile,
En grand résistant, Ponfilly l’a mé-fil !
Refrain
Est-ce que les gens perdent la tête,
S’trouent la cervelle où s’trouvent des prétextes
Pour encore ignorer c’t’indigné d’Hessel ? Intimé d’préceptes c’t’impliqué pressait c’t’imberbe d’jeunesse d’agir
Afin d’être enfin maîtresse d’elle-même !
(Toi) « Feins même d’être » Lette-Brosso ou Jean Moulin
Qui sous l’joug des fous et fouliens
Ont tout fait pour qu’s’noue un souverain C.N.R
à l’origine de l’ordonnance de ‘45
« Osons plus vite plus loin », j’t’enjoins à faire l’Humain, trop Humain !
Faut qu’t’humes un pot d’osmose !
Tes émotions et celles des autres de trop s’opposent !
Entre nuances et gradations proposes
Qu’l’agir commun d’l’avenir prochain
Ici d’nos mains s’impose !
Impoli car improviste, ma linguistique
Bien diachronique incivilement s’implique
Ainsi comme Mandela dit « Madiba »
J’rappe ce message et te dis,
Comme Ghandi, qu’la vie d’ici bas compte et s’mérite !
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9. |
MaPa sont là
04:57
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9-MaPa sont là:
Papa est là ! Panique pas, j’vais pas t’cher-lâ ! Ah maintenant qu’t’es là !
Mama et mes bras t’enlacent, nos voix, nos regards te gardent !
Là C’est la joie, l’émoi en larmes
Qu’on traduit d’une paix dans l’âme
J’sens qu’ça va ché-mar !
Nos bons cœurs t’arment
Pour qu’tes peurs n’tardent pas à t’guer-lar ! C’est l’art d’être là
Moins avec justice qu’avec justesse et d’là
Apprendre à s’faire confiance
A être conscients que d’ta vie on n’s’ra qu’le départ, mais ça s’prépare
Etre de ce qui t’es dû, qu’avec nous tu t’éduques à l’altérité, et ça
C’est le plus important, ver-l’en pertinent, être Parents d’lité-qua
Refrain : Papa est là, ’Pa est là !
Mama est là ! Maquille pas tes émois quand t’es chez toi
Ah ! Sens que tu as !
Nous, papis et mamies et qu’on s’fera béquille de ta saine malice et qu’là
En cas soucis, encas d’sourires, espace soupir histoire d’t’ouvrir
Pour toi tu as
Pas d’roues libres, d’tes paroles ont soutire des tas d’sous-titres
Et t’y prendra c’qu’il te faut pour faire tes propres choix,
Et qu’il te faudra apprendre à
T’écarter de notre voie, de tact acter ton d’voir d’être Toi
Et d’tendre à prendre la tangente pour mener tes combats
Et qu’devant toi les cons battent
En retraite comme face au poing fermé d’X colm-Ma et d’Ssoud-ma
D’façon dans c’monde la meilleur arme d’au fond d’toi tu la tireras
C’regard sincère qui t’vient d’ta mère
C’qui vers toi les gens biens attirera
Refrain : Mama est là, Ma’ est là !
Ma-Pa sont là Ma-manies pas les manies
Reste vrai, sincère et crois en toi
Avant d’croire en qui qu’ce soit
Pis qu’ce soit bien clair de nous à toi
N’te risques pas à plaire à tous
C’est l’tristes pas et mère atout du tout à soi
Parfois faut faire de té-cô un pas, taire ton égo d’un passage
Dans la non virulence, qu’en silence tu te fasses bon écho
D’un travail long, pesant, d’endurance qui fera qu’la violence t’intègrera
Et qu’intègre s’ra c’t’art Martial de porter ta pensée en acte !
Perle rare, ce genre d’attitude est a sans cesse encenser en soi
C’est qu’en soit l’altruisme teinté d’humilité inné n’est pas
Donc que la bienveillance comme preuve d’humanité unie n’est pas !
Humide n’est pas la vie p’tit cœur, rien n’est prédéfini laaa !
Ne rumines qu’à vivre leader bien veilleur de tes proches
Infini labeur, compliqué mais salvateur
Ce qui nous donne à nous l’envie d’être là
Ah ! Pas besoin d’foi car au fond celui en qui l’on croit nous c’est toi.
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10. |
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10- Humain inconsolé:
DIUB:
Blanc inconsolé, esseulé de son impression
D’être pelé comme un oignon
Victime de c’qu’il porte à la journée
Les couleurs coupables d’une peau que d’autres ont ajournées
Le mépris ignore le temps !
Pourtant j’n’oublie pas d’aigrir les bourreaux et leurs empires de cendre
Souv’nirs, Histoire poussent au crime et pourtant
Contre toute raison, la "culture du pardon" prime ! Prise de distance !
Responsabilité de complaisance…
Un déni pesant, comme une sorte d’acceptation
Que l’horreur puisse vivre dans le présent
C’est pas c’que j’appelle une solution !
Sent comme l’atmosphère à des relents d’exécutions !
D’assassinat psychologiques, philosophiques !
La mort des mots, l’avis des sots remplis des seaux, oh !
Le délire du : « Expie tes fautes ! » Non !
Ne sauvera sûrement pas l’esprit d’nos mômes !
Ma couleur devient poudre
Les noirs regards ont toutes les raisons d’symboliser la foudre !
Ici c’est Noirs, Arabes et Blancs
Ailleurs l’arc-en-ciel subit bien d’autres cancres !
A quand la tentative de Lumière ?
L’esprit éclairé n’est-il pas fait de cultures diverses ?
Une logique politique bien trop souvent relégué
Au registre du cimetière…
P4:
Noir inconsolé au destin peu solvable,
Originaire d’un pays tenu par des soldats
La vie là-bas : « au port d’arme », munitions économisées
Les missions des colons visait à nous néo-coloniser !
L’émotion est colorisée
D’un rouge pas amical !
Papa on parle des temps sonorisés des balles d’Amilcar Cabral
La paix c’est faire la guerre où y laisser des corps
Faut essayer d’éclore dans ce vicieux décor !
Soucis d’autorité où simple vérité
Vais-je devoir tout niquer dès qu’ils me parlent d’altérité ?
Inconsolés inconsolables les tromperies ils enseignent !
Sont consommées de façon « modérable », les tits-pe ont pris l’seum !
Ma colère est pleine, ma couleur ébène
à toute heure je traine la douleur des chaines !
Faut-il faire avec les paroles que l’ont ne nous dit pas ?
Où faire comme au bled ?
« Frère on pardonne mais on n’oublis pas ! »
Problème d’identité les conséquences sont persistantes
La normalité est loin des crèmes éclaircissantes !
On garde un peu d’espoir ! Ils ne vont pas nous la faire ces chiens !
« L’amour si fort » est c’qu’on a de plus cher
Beaucoup de larmes ont séchées
Noir inconsolé, l’amour propre comme seul arme !
Eveiller les consciences mon seul Art !
Diub:
Humains inconsolés car du coup,
La pratique de notre morale en dit plus long qu’son discours
2007, Dakar, ko-sar et sa prose de colonisateurs nie à tord
Que dans l’Histoire
L’Afrique à ses « Lignes d’or » hors de toutes images coloniales
Et que d’mille efforts ont redoublés Obenga et Cheik Anta Diop
Pour que puisse éclore une véracité
D’où puise ses forces l’anti paternalisme
Que ce titre s’efforce d’amplifier et d’faire vivre d’esprit et d’corps
Quand on pense à la françafrique franchement ça pique !
Je sens chez les francs ce hic !
Quand on déclenche la revisite de cette France à fric ! Arh !
C’est l’As de pique qui te pique d’un art du crime !
Et ceci d’un acte si athlétique !
Ah ! L’éthique s’aseptise ! Là ! T’es bègue hein ! (x2)
Refrain :
Tes discours ?
C’est calomnies, meurtres vocales, de connards qui s’leurrent mal
Malades "négativeurs", ces gars tissent leurs peurs sur des salades !
Puis font pires œuvres, d’l’esclavage passe à la « françafriqueur » !
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11. |
Le trauma des mots
04:09
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11- Le trauma des mots:
Ca fait des années qu'un changement on espère
D'autant qu'on entre dans une nouvelle ère
Pourtant on respire un sale air
Nos salaires souvent nous font bouffer d'la terre !
Si la sphère politique ne brassait pas que d'l'air
P't'être qu'on en serait pas à croire que rien n’peut nous plaire
Que rien n’peut y faire
Mesquin politicien, même dans l'impair, c'dingue est couvert !
Nos rêves sont cloués sous terre
Comme pour mieux fixer l'idée que l'espoir est lunaire !
J'énumère une merde qui se terre
L'effet FN qui fait que l'humaine Europe est due-per!
Rho ! Peiné, j'ai les mors, les porcs effrénés, de l'année font le drope !
J’récupère pas Pa’ (papa), à plat, assené de saignées !
Ce vote c'est pas de l'henné !
Marquée à vie! Arh ! L'histoire se réitère !
Peut être qu'ils touchent de trop tous ces mots
Mais c'est Mongo Béti l'ennemi active ma rime
Faite d'avis subversifs vides de toute démago
Peut être qu'il faut que se mouillent les stylos
Et comme Lumumba au Congo
Les élites d’esprits agissent plus qu'elles n'écrivent pour les autres !
Peut être qu'elle parle de trop ma démo
Mais comme Primo Lévi j'évite la déprime par un avis qui s'exprime
Par le trauma des mots
Peut être qu'il râle de trop mon égo
Mais comme Primo DJ j'érige en zic ce qui m'agite
Milite pour qu’jamais n’tombent mes mômes
Oh ! Contes mélodramatiques sont des idéaux que le banal mal astique
Le monstre néo naz’(nazi) dans vos âmes s'applique !
N'oublions pas qu'une opinion a tué Clément Méric
Fou ! Le francillion, de ce qui fonde son pays est bien amnésique
C'est le même du populaire au politique
On lâche l'éthique pour le « trauma des mots ! »
Ici la vie psychique arrive à son terme, ah ! Oui j’suis ferme !
Le capitaliste ultra nous enterre, nous rend terne
Et dans l’individualiste nous enferme !
Hein ! J’exagère, rho ! Si seulement c’n’était qu’ça frère !
Tremblement politique mais que ça flaire !
Des xéno’ (-phobes) au parlement euro’ (-péen) ! Eux ?
Mais putain... Nique leurs mères !
D’puis qu’ils existent, ils salissent du vote l’exercice !
Ce qu’on (nous) explique par la crise économique, merde !
30 ans de crise, c’est c’qu’on appelle un choix de gouvernement !
Être raciste pour ça n’a pas d’sens
Puis y-a longtemps qu’on n’fait plus d’éducation populaire !
Et ça pas qu’pour nos enfants !
Il n’est plus question d’efforts et d’solutions
Mais bien d’être fort dans la raison d’une union
Contre ceux qui gèrent c’qui fait une nation
Les décisions viennent des ministères non ?
Alors…
Au fond l’E.N.A n’est qu’c’te longue léthargie
D’l’esprit fécond d’Etat zombie dont l’état gît à l’ombre
Le comble de leur diplôme n’est-il pas qu’ils trompent ce qu’ils prônent ! Vice de principes y-a-t-il ?
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K.HOSTYLE IDF, France
Depuis 1998 DI UBALDO Grégory a.k.a Diub, est un Mc qui forge son style. Plusieurs projets de travaillés dans les années
2000 ("succint brutal", "Hip Hop", "Freestyle, "Sou-sol" et "Impact" avec le soutient inconditionnel de son frère Anthony DI UBALDO a.k.a TONY.
Artiste impliqué, Diub utilise son art pour impacter son environnement. 2015: "Larme Incivile" Quand l'écriture devient un engagement!
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